Pianiste et chanteur de Madeleine et Salomon, pianiste de Malia, compositeur de la musique du dernier film de Baya Kasmi Youssef Salem a du succès (avec Ramzy Bedia), Alexandre SAADA est un musicien libre qui revendique sa non-appartenance à un style unique.
Il publie YELLOW HORSES, un album de chansons pop qui rappelle les univers de Feist, Sufjan Stevens, Lhasa, ou encore Leonard Cohen.
« Dans ce nouvel album, je raconte des histoires d’amour réussies ou ratées, je raconte comment parfois l’on peut faire passer les autres au détriment de soi, j’évoque l’urgence écologique et la complexité d’un monde dans lequel il est parfois dur de ne pas se perdre. Moi je me perds souvent. Ma musique est comme une plante qui pousse très vite dans mille directions à la fois, avec un feuillage dense. Dans cette course effrénée apparaît parfois un bourgeon. Si l’on s’arrête pour le regarder pousser, on peut voir éclore une chanson. »
Alexandre Saada commence en 2020 à écrire des chansons, renouant ainsi avec ses premières amours (le rock et la pop) et afin d’aborder la musique sous un angle nouveau.
Si l’improvisation est l’expression même du mouvement, l’écriture de chansons se rapproche, pour le pianiste, de l’ouvrage patient et méticuleux de l’artisan. Ces deux approches se nourrissent mutuellement. YELLOW HORSES est un pas de plus sur ce chemin singulier.